Un lien entre variabilité élevée de la pression artérielle et troubles cognitifs

L’augmentation de l’espérance de vie entraîne de facto l’augmentation du nombre de personnes présentant des troubles cognitifs. D’où l’intérêt de mettre en évidence les facteurs de risque à cet égard.

L’étude de Maastricht avait pour objectif de rechercher un lien entre une augmentation des pressions systolique et diastolique, d’une part et les troubles cognitifs d’autre part. Cette étude menée auprès de sujets âgés de 45 à 75 ans arrive à la conclusion que la variabilité, à très court terme à moyen terme, de la pression diastolique et, dans une moindre mesure de la pression systolique pourrait constituer un facteur de risque modifiable de détérioration cognitive.

Source : Zhou TL et al. Hypertension. 2019;doi:10.1161/HYPERTENSIONAHA.118.12305Hypertension. 2019;0